Pour les porteurs de projets qui s’oublient, se cherchent et se découvrent

Pour les entreprises qui veulent investir dans l’humain

Humain déterminé
Coach professionnel certifié
Préparateur mental certifié
Formateur agréé

Stéphane Loties

Je suis passionné de plusieurs choses, mais ce qui me résumerais le plus, c’est la création. La conceptualisation. J’aime assimiler comment les choses fonctionnent, d’un système simple comme l’univers, à un système complexe comme l’être humain. J’aime observer, apprendre, comprendre. J’aime accompagner et voir les idées prendre forme. J’aime écrire tant que je ne sais pas ce qu’il se passe à la fin du livre, j’aime créer des jeux, des courses de grenouilles à 8 ans, des jeux de sociétés 25 ans plus tard. J’aime les idées, les faire naître, les voir grandir, évoluer, changer, aboutir, que ce soit les miennes ou pas. J’aime vieillir parce que j’adore prendre du recul sur les choses. C’est le meilleur moyen d’apprendre et finalement, de comprendre.

C’est sans doute parce que j’aime tout ça que j’ai aimé ma première carrière, ma deuxième, et tout ce qu’il se passe depuis. Apprendre, retranscrire, me porter au-delà.

Comment j’ai développé mes compétences ?

Être coach n’est pas une définition d’un être humain. C’est plus subtil que ça. Ce qui amène à se diriger vers cette discipline, ce sont des convictions fortes nées d’expériences qui ne le sont pas moins. Voici une liste non exhaustive :

  • J’ai grandi à Vaulx-en-Velin, banlieue lyonnaise où j’ai passé 20 ans qui m’ont amené à apprécier la mixité sociale et culturelle, à ne pas négliger la débrouille, à asseoir ma motivation, à toucher du doigt l’écriture.
  • J’ai évolué en informatique, ce qui m’a permis d’intégrer l’évolution permanente, la recherche de solutions, l’abnégation, le calme, à ne pas juger une idée avant de l’avoir exploitée.
  • J’ai trois enfants qui m’ont permis de comprendre le sens des responsabilités et des priorités. L’exemplarité, l’anticipation.
  • J’ai eu une maladie grave, un Lymphome epidermotrope à cellule T, avec qui j’ai appris à m’accrocher, à relativiser, à changer de point de vue, à m’affirmer et à décider… A agir !
  • J’ai connu un divorce, qui m’a appris qu’une page se tourne et qu’une autre s’ouvre, que rien n’est immuable et qu’assumer les conséquences d’un choix est plus facile que de ne pas choisir.
  • J’ai connu une réorientation professionnelle quand ma situation était pourtant tout à fait sereine et toute tracée, et j’ai appris à écouter cette petite voix à l’intérieur de moi.
  • J’ai connu la vie, qui m’a appris que mes erreurs sont une partie de moi, que personne n’est parfait, surtout pas moi.
  • J’ai connu une famille recomposée, qui m’a appris que construire est plus agréable quand j’écoute mes envies. Elle m’a appris l’amour et l’avenir.

Quant à la technique, je l’ai apprise à l’école de coaching (ECF), en préparant mes certifications de coaching professionnel RNCP 34508 et de PNL. Puis à la dure, en préparant seul ma certification de préparation mentale.

La vie m’a donc apporté 99% de mes compétences, les diplômes sont juste venus y mettre un cadre.

Quel est mon style de coaching ?

On m’a dit un jour : « on coache comme on est dans la vie ». Alors dans la vie, je suis quelqu’un qui ne se stresse jamais. Je pense qu’il y a plus de solutions que de problèmes. J’aime rire, taquiner. J’ai des phases durant lesquelles je repousse mes limites. J’aime quand ça bouge, mais j’aime aussi prendre le temps, changer de point de vue. J’ai une forte tendance à challenger mes idées, les confronter, prendre des avis, appliquer ceux qui me semblent bons. Je communique facilement, j’ai une tendance naturelle à affirmer ma position mais je suis tout aussi capable de la faire évoluer lorsque c’est pertinent. Je suis un homme ancré mais dont la position change. Je m’essaye à la transparence depuis peu et j’en comprends les bienfaits. J’aime aussi débattre, confronter mes arguments.

Quelle est ma vision ?

Si le métier devait exister, j’aurais adoré être accoucheur d’idées. Sage-homme de bébé idées. Mais j’aurais aussi aimé être éducateur d’idées, pour les voir grandir, les orienter, pour les voir prendre leur envol. Ma vision de la vie, c’est que toutes les idées sont bonnes à être explorées et que si l’une d’entre elle plait à une personne, alors elle plaira à 1000 personnes. A partir du moment où son possesseur ne la juge pas et croit en elle. Une idée, c’est comme un enfant. C’est l’attention qu’on lui porte qui l’aide à aller dans la bonne direction.

Quel coach ça fait de moi ?

Je te laisse le découvrir.

Mes grandes propositions

Il n’y a rien de pire que de se retrouver face à son projet et d’être le seul à y croire au point de finir par ne plus voir qu’une idée impossible à réaliser.

Point de vie dans sa genèse, c’est du coaching pur. Travailler sur l’idée pour en faire un avant-projet, travailler sur l’avant-projet pour en faire un projet, travailler sur le projet pour lui donner toutes les chances de réussir, ou tout ça en même temps. Se (re)mettre en action, pendre conscience des possibilités d’échecs, autant que de celles de réussir. Anticiper les bons et les mauvais côtés et se préparer à tout ce qui pourrait arriver tout au long du processus.

Se mettre en mouvement favorise l’apprentissage. Notre idée d’associer jeux théâtraux et coaching naît d’une conviction profonde : le théâtre permet d’expérimenter les apprentissages par le corps en jeu et en mouvement, puis le coaching vient consolider ces apprentissages, il aide à prendre conscience des enjeux de nos comportements. Quelle que soit la thématique, chaque module mêle donc des jeux de mise en expression théâtrale, et du coaching sous forme d’enseignement collectif et d’analyse individuelle.

En collaboration avec Élodie Nosjean :

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